BIBLIOTHÈQUE NATIONALE. Les livres aux symboles étranges, le silence du saint dans ces dédales d’instruits, les pages qui se bruissent dans la contemplation d’une histoire et les chérubins assis devant le conteur chuchotant les mythes de leur origine. Des employés qui veillent au repos éternel, la bibliothèque fait la fierté de Florence, des ouvrages rares dans leur écrin d’argent que les érudits feuillètent sur leur chaise assoupie. L’on dirait une église de voir toutes ces silhouettes évoluer dans la tamise des feuilles cultivées.

PALAIS DU BARGELLO. Ancien siège des gardiens de paix, le palais demeure aujourd’hui un vestige sacré des œuvres humaines, l’on se promène dans les couloirs de pierre, des arabesques amusées pour les visiteurs venus se sustenter de culture argentine ; les enfants galopent puis les adolescents s’étreignent à l’oreille des murmures pour le plaisir. La foule se meut, masse gargouillant dans les entrailles de la demeure princière, elle a gardé son charme d’antan l’envolée sublime.

RESTAURANT. Aux côté du musée tu trouveras les délices du palais, d’une langue qui touche les plaisir de manger, des plates servis dans un restaurant simple mais délicat il est là pour apaiser tes envies, tes fringales ; là assoupie toi le visage relevé vers les cieux, dégustes les plats puis paye l’addition les mains sur ton ventre repu.